Titre : |
La peine de mort : De Voltaire à Badinter |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Sandrine Costa, Présentateur |
Editeur : |
GF Flammarion, 2001 |
Collection : |
Etonnants classiques |
Description : |
127p. |
ISBN/ISSN : |
978-2-08-120750-9 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Vingt ans après son abolition, la peine de mort n'est plus un enjeu en France. La question avait suscité toutes les passions dans les années 1.970, divisant l'opinion et la classe politique. La gauche était abolitionniste, la. droite généralement pour le statu quo. Depuis le début de la Ve République, les différents chefs de l'État, s'ils ont parfois fait part de leur hostilité personnelle à la peine capitale, n'ont jamais cru devoir engager un débat national sur un sujet aussi sensible. C'est l'infatigable avocat des droits de l'homme, Robert Badinter, qui décide, avec François Mitterrand, de mener le combat pour l'abolition. --Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre. |
Note de contenu : |
" Tout condamné à mort aura la tête tranchée. " Ainsi en décide le nouveau Code pénal adopté par les révolutionnaires en 1791. La guillotine a alors de beaux jours devant elle et fonctionnera en France pendant près de deux siècles, jusqu'à l'abolition, en octobre 1981, de la peine de mort. Les adversaires de la peine capitale luttent pourtant depuis le XVIIIe siècle. Et si le combat a été gagné en France, ils savent qu'ailleurs dans le monde on exécute encore les condamnés. |
Nature du document : |
documentaire |
Genre : |
anthologie |
La peine de mort : De Voltaire à Badinter [texte imprimé] / Sandrine Costa, Présentateur . - GF Flammarion, 2001 . - 127p.. - ( Etonnants classiques) . ISBN : 978-2-08-120750-9 Langues : Français ( fre)
Résumé : |
Vingt ans après son abolition, la peine de mort n'est plus un enjeu en France. La question avait suscité toutes les passions dans les années 1.970, divisant l'opinion et la classe politique. La gauche était abolitionniste, la. droite généralement pour le statu quo. Depuis le début de la Ve République, les différents chefs de l'État, s'ils ont parfois fait part de leur hostilité personnelle à la peine capitale, n'ont jamais cru devoir engager un débat national sur un sujet aussi sensible. C'est l'infatigable avocat des droits de l'homme, Robert Badinter, qui décide, avec François Mitterrand, de mener le combat pour l'abolition. --Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre. |
Note de contenu : |
" Tout condamné à mort aura la tête tranchée. " Ainsi en décide le nouveau Code pénal adopté par les révolutionnaires en 1791. La guillotine a alors de beaux jours devant elle et fonctionnera en France pendant près de deux siècles, jusqu'à l'abolition, en octobre 1981, de la peine de mort. Les adversaires de la peine capitale luttent pourtant depuis le XVIIIe siècle. Et si le combat a été gagné en France, ils savent qu'ailleurs dans le monde on exécute encore les condamnés. |
Nature du document : |
documentaire |
Genre : |
anthologie |
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